Collection Fantasme. L’Infirmière Stagiaire.

140, 150, 160, elle déchire ma nouvelle mille Kawas, ça fait deux ans que j’économise pour me l’acheter depuis que je l’ai vu dans sa vitrine dans la boutique de réparation de moto, certes, c’est le même modèle de la même couleur rouge, mais c’est la nouvelle série et j’en suis amoureuse.
Combinaison, bottes, gants et mon casque, en route pour la nationale 32 où j’ai une ligne droite de 3 kilomètres pour la pousser un peu et voir ce qu’elle a dans le ventre.
Ça roule, encore un petit peu avant de décélérer, quel pied, j’ai bien fait de l’acheter.
Merde, j’aurais dû couper les gaz plus tôt.
Merde, si ça va passer, penche-toi Paulo.
Merde la roue arrière à glisser, encore une chance que j’ai ma combi et mon casque.

Tiens, j’ai oublié de couper mon clignotant, c’est drôle, la lumière tourne en rond, il va falloir que je le signale au garage, un clignotant, c’est fait pour clignoter et non pour tourner.

• Oui, prévient le service, on leur en amène un qui vient de se manger la glissière de sécurité.
Perte de connaissance et jambe avec plusieurs fractures, vu la trace de freinage il s’en sort bien.

Après la lumière la sonnette, ping-pong, ping-pong on dirait les pompiers non, une ambulance, encore un con qui a dû aller trop vite et qui a eu un accident.

• Direction le bloc opératoire ils l’attendent, ils vont réduire les fractures.

C’est drôle, pourquoi cette grande lumière, c’est marrant, ils m’ont piqué et c’est chaud dans mes veines.
Regarde celui-là avec son masque sur la figure il se croit à l’hôpital.

• Pierre augmente la dose, on a encore un malin qui va nous raconter sa vie.
• Je suis au maxi, il va falloir le supporter.
• Le supporter, ai-je demandé de venir les voir, je me promène avec ma moto et elle la grosse si elle croit que je vais la baiser.
• Ça faisait longtemps, c’est un marrant, mesdames fermez vos oreilles, il va tout vous déballer, Geneviève pour ta première si tu veux, tu peux te retirer, Marie ou dois-je dire la grosse tu te souvent de celui que j’ai opéré de l’appendice et qui me racontait tout ce que je lui faisais.


• Marie écoute le, il parle de mon papa qui a été opéré il y a deux ans, lui aussi de l’appendicite et que l’anesthésiste était incapable d’endormir profondément.
• Pierre, si c’est le fil, il tient de son père, j’attaque.
• À l’attaque, Geneviève tu as bien fait de rester, tu ressembles à une jeune fille que j’ai baisée l’autre jour, même visage même yeux, tu suces aussi bien qu’elle.
• Geneviève, je te l’avais dit si tu veux sortir, tu le peux encore, s’il a flashé sur toi tu risques d’en entendre de toutes les couleurs, j’ai l’habitude et demande à Natalie, tu te souviens, tu en as eu un qui a passé tous le temps que je fasse mon travail à te parler des sodomies que tu adorais pratiquer.
• Oui, j’ai tellement été subjugué par ce qu’il m’a appris que, depuis je me fais enfiler le petit chaque fois que je baise.
• Nat, tu es le bout en train de l’équipe toujours à dire des bêtises.
Coton.
Geneviève essuie mon front s’il te plaît.
• Fait attention petite, il va commencer par le front et dans cinq minutes il voudra que tu lui suces la queue.
• Monsieur s’il vous plaît respectez le personnel.
Quel con je tombe moi-même dans le piège, tu vois petite, je lui ai répondu alors que je sais que c’est son cerveau qui réagit alors qu’il dort profondément et que je travaille sans qu’il le sente.
• C’est bien, j’apprends et si je comprends bien vous avez des cas de temps en temps.
• Pierre, un sur combien ?
• 1 000 ou 2 000, le père cela doit faire 3 ans.
• Bien Pierre, 3 et 1/2 exactement, quand-il en parle avec tous nos amis, il en rigole encore.
• Tu vois Geneviève, il suffit de lui demander et il va te répondre.
Rigolons, la petite elle est vierge.
• Tu rigoles, depuis ses 17 ans elle saute sur tout ce qui bouge, c’est une nympho, de la bite, de la bite et encore de la bite, un Geneviève que tu es folle du cul.
• Ferme bien tes oreilles, petite, ce qui est bien c’est que ce sont leurs propres obsessions qu’ils nous débitent dans ces moments-là.

Bien, voilà la deuxième fracture est réduite, on continue, comment il s’appelle ?
• Sur sa fiche il est marqué Paul.
• La grosse, c’est Paulo pour les femmes.
• Alors la grosse, respect Paulo autant qu’il te respect et Geneviève, c’est tout ce que tu as à nous dire sur elle.
• Monsieur, arrêté de le provoquer même si cela vous amuse, c’est gênant pour la petite.
• Non, c’est drôle, on dirait qu’il retrace ma vie.
• Un point pour toi Geneviève tu seras bien noté pour ton travail avec nous ce matin, j’aime que dans mon équipe on soit décontracté, cela évite les erreurs pendant une opération.
• Surtout que quand tu auras fini de t’occuper de ma jambe, tu demanderas à la grosse de passer dans ton bureau où tu la sexeras.
• Comment c’est-il cela, vous lui avez dit ?
• Bien joué, mince j’ai loupé un point.
• J’ai visé juste, tu viens de te troubler, j’arrête de t’agresser, je veux garder ma jambe.
• Il a raison, donnez-moi la scie, on ira plus vite.
• Il faut la sortir.
• C’est de l’humour Geneviève, même s’il nous dit des horreurs, on va lui sauver sa jambe.
• Tu as raison, garde-moi là au chaud pour quand je sortirais, je t’emmènerais au restaurant et après nous irons dans ma chambre où tu te laisseras baiser, tu voudras toi aussi que je te sodomise, je sais que tu adores.
• Mon sexe si vous voulez ma rondelle, on verra, je suis vierge de ce côté-là.
• Et attention, il te fait dire des horreurs, mais c’est normal, c’est la fatigue d’une opération.
J’ai presque fini mesdames, je vais vous débarrasser de cette ignoble individu.

Ignoble individu, pas du tout homme réaliste qui connaît très bien le milieu des infirmières, celle pour qui je fantasme depuis ma puberté quand pour la première fois de ma vie j’ai vu un porno où les infirmières étaient nues sous leur blouse et qui se faisait baiser voire enculer par tous les médecins présents ce jour-là.

• Geneviève vous aussi vous êtes nue sous votre blouse.

• Il va tout nous les faire, avant canal quand j’ai débuté, on était tranquille, aucun n’avait vu de fellation et encore moins de sodomie et leur fantasme était plus sain, les petites culottes, les gros nichons étaient notre quotidien, mais maintenant ils connaissent tout et on a droit à tout.
Au faîte Geneviève vous êtes nue.
• Oui, pourquoi.
• Encore perdu tu as répondu à de telles horreurs même si de te savoir nu me fait bander, Nathalie tu veux aller voir.
• Monsieur, je suis mariée.
• Pourtant, tu niques avec ton voisin quand ton mari est à l’étranger, reconnaît que tu adores qu’il te prenne comme une chienne sur la table de ta cuisine.
• Monsieur, vous avez bientôt fini.
• Pourquoi cela devient intéressant, c’est vrai pour le voisin.
• Monsieur.
• Je vois que l’équipe commence à fatiguer, Pierre j’ai fini dans dix minutes, je suis content, il va avoir une jambe toute neuve pour courir les filles.
• Non, c’est fini, j’épouse Geneviève et je vais lui être fidèle jusqu’à la fin de mes jours, j’aime ses yeux bleus.
• Petite regarde, tu vas passer du bon temps, sa queue est énorme et s’il sait s’en servir, tu vas ramasser.
• Je l’ai vu tout à l’heure quand le drap a glissé.
• Petite coquine, tu sais regarder où il faut.
• Elle a raison, monsieur, j’ai une grosse queue et elle va voir, comment je sais m’en servir.
• Ils sont tous les mêmes, il fait qu’il se vante.
• Monsieur et si c’était vrai.
• Souvient toi qu’il dort, va le voir demain ou après-demain en médecine 3 et pause lui une question sur tout ce qu’il nous a dit et surtout s’il veut toujours t’épouser, tu risques d’être dessus.
Demande à celle qu’il appelle la grosse, un prince arabe lui a donné toute sa fortune le jour où je lui réparais le grand qu’il s’était éclaté avec une jeune vierge, tu es riche ?
• Riche de mon travail mais il est vrai que dans les jours suivants j’ai ignoré où était sa chambre.

• Pourtant, c’est bien toi que j’ai vu entré dans sa chambre en médecine 2.
• Tu fais erreur, c’était en médecine 1.
• Mesdames on arrête de se chamailler, j’ai terminé, je vous laisse Pierre prend le relais avant de le mettre en zone de réveil.
• Geneviève suivez-moi, je vais vous signer votre feuille à remettre à la responsable de l’école d’infirmières.
• Mon cœur, on va se marier, évite de déjà me tromper.
• Paulo sucé est-ce tromper.
• C’est vrai, sucer est-il trompé, j’ai entendu cela à la radio l’autre jour ni les uns ni les autres ont réussi à se départager.

C’est calme, monsieur vous qui êtes à côté de moi avez-vous une sonnette, j’ai soif.

• S’il vous plaît, peut-on me dire où je suis ?
• Vous êtes réveillé, je vais vous faire conduire dans votre chambre pour que vous récupériez.
• Que m’est-il arrivé ?
• Vous êtes tombé en moto et il a fallu vous opérer en urgence de plusieurs fractures de la jambe.
• Et ma moto elle va bien.
• Ça, vous le demanderez aux gendarmes quand ils viendront vous enlever votre permis, il paraît que vous étiez à une vitesse vertigineuse.
• Merci madame, vous êtes très gentille.
• Plus qu’avec mes collègues au cours de l’opération.
• Pourquoi ?
• Vous leur demanderez, Nathalie a beaucoup aimé ce que vous avez dit sur elle et sur son voisin, du moins c’est ce qu’elle m’en a dit.

Un grand black m’emmène sur le lit où je repose, je vois sur une porte Médecine 3.
J’ai faim quand la porte de la chambre s’ouvre.

• Je peux entrer.
• Aucun problème, j’aime recevoir d’aussi jolie fille que vous, je vais me casser la jambe plus souvent.
• Je suis Geneviève, vous vous souvenez de moi !

Si mois plus tard j’épousais Geneviève, elle avait comme témoin une infirmière un peu enveloppée dont j’ai oublié le nom ainsi qu’une certaine Natalie, elles m’ont pardonné toutes les deux après que je leur ai apporté un grand bouquet de roses.
Côté baise, Geneviève avant notre mariage m’a expliqué qu’elle était une folle de son cul et maintenant c’est moi qui en profite chaque fois que je peux la prendre ayant fait d’elle m’a petite chienne.

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